L’accord secret du 4 février 2011 dernier entre Stephen Harper et Barack Obama
Une recherche dans les médias québécois n’a pas donné grand chose, ni le groupe Gesca ( Desmarais) ni le groupe Videotron (Peladeau) n’en ont parlé .. et comme à eux deux ils contrôlent 98% de la presse/tv/radios d’ici…
Un accord tout récent a été conclu en catimini le 4 février 2011 dernier (lors du dernier voyage de Stephen Harper aux États-Unis) entre le premier ministre canadien Stephen Harper et le président américain Barack Obama, accord qui abolit la frontière canado-américaine sous le prétexte qu’il faut que les deux pays se dotent plutôt d’un « périmètre de sécurité » autour du continent nord-américain.
Donc, c’est maintenant officiel, les militaires américains pourront bientôt traverser la frontière canadienne en n’importe quel temps à partir de maintenant dans l’éventualité de tout événement de crise majeure au sein des deux pays (Canada et États-Unis).
Cet accord politique, qui s’est fait en catimini le 4 février 2011 dernier (aux États-Unis) entre les deux chefs d’état, alors que tous les projecteurs médiatiques du Québec, du Canada et des États-Unis étaient au même moment concentrés massivement à nous transmettre les images du soulèvement égyptien.
Avec l’accord secret du 4 février 2011 dernier entre Stephen Harper et Barack Obama sur le paramètre de sécurité nord-américain (le début du processus de l’abolition de la frontière canado-américaine) que la grande majorité de nos médias écrits et parlés ont passé sous silence, on commence à se rendre compte qu’on s’est sérieusement et collectivement fait passer un (sérieux) sapin qui est destiné à paver la voie à l’établissement de l’Union Nord-Américaine (NAU – North American Union).
Même le National Post reconnait que quelqu’un quelque part ne veut pas susciter trop d’intérêt pour cet accord….les journaux américains n’en parlent pas et à peine les journaux canadiens….
Tout a été préparé dans le plus grand secret : ICI
Un deal qui est attendu depuis belle lurette par le Conseil canadien des chefs d’entreprises, ce qui nous montre que cet accord est une affaire de gros sous et gros contrôle….
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