mercredi 7 octobre 2009

La NASA lance une fusée contre la Lune


La NASA va lancer vendredi une fusée portant une charge destinée à s'écraser sur la Lune, pour voir de quelle nature est la poussière de l'astre.

La NASA va écraser volontairement un vieil engin spatial au pôle sud de la Lune pour soulever un nuage de poussière, et vérifier s'il y a de l'eau ou de la glace dedans. L'idée est de confirmer la théorie selon laquelle de l'eau, essentielle pour la vie de futurs pionniers humains, est enfouie dans le paysage désolé de notre satellite.

Le vaisseau spatial envoyé avait été lancé en juin dernier avec un appareil ambulant de cartographie, qui effectue actuellement un relevé des sols lunaires. LCROSS, cet engin observateur des cratères lunaires et satellite sensible, est en voie de collision avec la Lune, attaché à une fusée de 2,2 tonnes qui l'a amené jusque là. Il doit se séparer de la fusée jeudi, dix heures avant la collision.

Le satellite LCROSS doit recueillir les images de cette arrivée brutale sur le sol lunaire avec ses caméras en couleur, et les envoyer à la Terre, avant de percuter à son tour le fatal cratère.

Le vaisseau spatial LCROSS, propulsé contre la Lune vendredi, devrait rapporter des images en couleur de son choc avec l'astre.

Suite de l'article:

La NASA va écraser volontairement un vieil engin spatial au pôle sud de la Lune vendredi 9 octobre pour soulever un nuage de poussière, et vérifier s'il contient de l'eau ou de la glace. L'idée est de confirmer la théorie selon laquelle de l'eau, essentielle pour la vie de futurs pionniers humains, est enfouie dans le paysage désolé du satellite. La progression de la fusée américaine vers la Lune puis son impact seront diffusés en direct sur le site de la Nasa et de Slooh, le site d'un groupe de passionnés et d'ingénieurs américains.
Il sera possible d'assister à l'événement en se connectant une heure environ avant la collision soit aux environs d'1h du matin (heure française) dans la nuit de jeudi à vendredi.

Des images en couleur

Le vaisseau spatial LCROSS envoyé contre la lune avait été lancé en juin dernier avec un appareil ambulant de cartographie, qui effectue actuellement un relevé des sols lunaires. Il est attaché à une fusée de 2,2 tonnes dont il doit se séparer dix heures avant la collision. La fusée vide percutera un cratère jamais éclairé et devrait envoyer en l'air des débris à une dizaine de km à la ronde. Le satellite LCROSS doit recueillir les images de cette arrivée brutale sur le sol lunaire avec ses caméras en couleur, et les envoyer à la Terre, avant de percuter à son tour le cratère.

4,6 milliards d’abonnements mobiles en 2009


L’Union Internationale des Télécommunications (UIT ou ITU en Anglais) a annoncé que le nombre d’abonnements de téléphonies mobiles devrait atteindre 4,6 milliards d’ici la fin de l’année.
Une disparité importante entre pays riches et pauvres

Concrètement, cela signifie qu’il y a deux abonnements pour trois personnes dans le monde. Il faut néanmoins rappeler que dans les pays développés, de nombreux consommateurs possèdent plus d’un abonnement. L’étude affirme aussi que 600 millions de forfaits offrant une connexion Internet mobile haut débit (HSDPA par exemple) ont été souscrits et que ce type de connexion à dépasser le haut débit fixe en 2008.

L’union a remarqué un fossé numérique important. Il y a environ un abonné à une connexion Internet haut débit pour 1 000 habitants africains contre 200 pour 1 000 en Europe. Cette faible adoption est en partie due aux prix, puisque l’Afrique est le lieu où les télécommunications coûtent le plus cher. Comparativement, l’Europe est le continent le moins onéreux. On notera que ce fossé existe uniquement sur ce type d'abonnement. Le taux de pénétration du téléphone portable et de la ligne fixe reste au coude à coude entre pays riches et pauvres.
Croissance malgré la crise

Nous pouvons contraster cette étude avec une actualité que nous avons publiée en 2007 et qui parlait de 3,3 milliards d’abonnements mobiles. On remarque que malgré la crise, la croissance est restée stable, mais les disparités entre les diverses économies restent importantes.

On notera aussi que plus d’un quart de la population mondiale est maintenant sur Internet et que plus de trois quarts ont un téléviseur. Les accès à l’Internet haut débit fixe ont plus que triplé pour passer de 150 millions en 2004 à 500 millions en 2009.

Google street view !!!



Depuis ce matin, Google Street View est en ligne pour représenter 11 grandes villes canadiennes, dont Montréal et Québec. Ce service controversé de Google permet de visionner des images de différents lieux présentés sur une carte visuelle, selon un axe de rotation de 360 degrés.

Le service de Google Street View, accessible depuis le site de Google Maps, est aussi disponible depuis aujourd'hui dans d'autres villes canadiennes et leurs banlieues rapprochées, dont Halifax, Whistler, Banff, Squamish (C-B), Kitchener-Waterloo, Ottawa, Hamilton, Vancouver, Calgary et Toronto. Les véhicules de Google, munis de caméras panoramiques, enregistrent les images de ces villes depuis le 25 mars dernier.

Cependant, l'arrivée du service ne s'est pas faite sans controverse relativement au respect de la vie privée des personnes captées par la caméra de Google et dont les images sont accessibles à tous les internautes. Néanmoins, Google a accepté de se conformer aux lois canadiennes et brouillera les visages et les plaques d'immatriculation de ses images à l'aide d'un logiciel spécialement conçu.

De plus, les internautes peuvent facilement demander à Google de retirer une image. Google a d'ailleurs publié un vidéo (ci-dessous) expliquant la marche à suivre. Le lancement de Google Street View survient le lendemain du dépôt du rapport annuel de la commissaire à la protection de la vie privée du Canada. Cette dernière avait aussi aussi envoyé une lettre à Google, publiée sur le site du Commissariat.

Actuellement, les voitures de Google spécialement équipées sillonnent les rues de plus d'une centaine de villes canadiennes. Le site de Google Maps a publié la liste de ces villes et villages.

CLIQUE ICI POUR LE SITE D'INFO : Google street view !

Quand 2 voyous tombent sur des travestis-catcheurs...



Deux Ecossais éméchés ont cru s'en prendre facilement à une blonde en jupe courte. Il s'agissait en fait d'un catcheur.

A Swansea en Ecosse, des voyous ont récemment cru s'en prendre à deux travestis qui étaient en fait deux catcheurs n'étant pas prêts à se laisser faire, rapporte le site du Mail Online mercredi 7 octobre.
Sur les images de caméras de surveillance diffusées par le site, on peut voir deux hommes éméchés terrifiant les passants d'une rue commerçante de la ville. Après s'en être pris à un groupe de personnes faisant la queue devant un bar, la bande reprend son chemin et tombe, quelques mètres plus loin, sur deux hommes habillés avec des mini-jupes, haut-talons et perruques.

Deux catcheurs

L'un des voyous commence alors à vouloir s'en prendre à l'un des travestis. Malheureusement pour lui, ses deux victimes sont en fait deux catcheurs.
Ceux-ci répondent en quelques secondes à l'attaque et mettent à terre les deux brutes et les rouent de coups de pieds. Les agresseurs ont ensuite rapidement pris la fuite avant d'être interpellés par des policiers. Les deux "terreurs" qui ont plaidé coupable ont écopé de quatre mois de travaux d'intérêt général.

(Cédric Cousseau - Nouvelobs.com)

Google souligne l'anniversaire du Code-barres!


Comme plusieurs lecteurs l'auront remarqué aujourd'hui, le logo figurant sur la page d'accueil de Google représente un code-barres. La raison expliquant ce choix est que le 7 octobre marque la date de dépôt du brevet du code-barres. Google a donc décidé de souligner le 57e anniversaire du code en barres.

Les inventeurs Norman Woodland et Bernard Silver ont obtenu le brevet du code-barres en 1952. Le brevet original concernait un système de données encodées en forme de cercles concentriques. De cette façon, ce code pouvait être lu sans regard à son orientation lors du balayage (scan) effectué par le capteur électronique. Le code en barres est devenu par la suite un système «rectangulaire» de lignes verticales, dont l'épaisseur et la distance qui les séparent représentent les données encodées.

Initialement utilisés pour l'étiquetage des wagons de trains, les codes-barres firent rapidement leur apparition sur les produits vendus dans les supermarchés où ils sont devenus presque universels. L'utilisation du code en barres ne sera véritablement popularisée qu'à partir de 1973. De nos jours, leur emploi est beaucoup étendu et les codes-barres sont indispensables pour des tâches d'identification automatique de divers produits ou marchandises et pour la saisie de données.

Depuis les années 1980, plusieurs sont d'avis que les créateurs du code-barres y auraient dissimulé des nombres sataniques (comme 666) et des soupçons d'ésotérisme planent sur ce système d'encodage.