jeudi 24 février 2011

DEMOSOPHIE

Démosophie est un néologisme composé de "Demos" (peuple) et "Sophia" (sagesse). Ce néologisme a été enregistré pour la première fois en 1990 par Eric Fiorile, auteur d'un ouvrage du même nom (non publié), enregistré auprès de l'Institut de la Propriété Intellectuelle à Paris. En 2010, il publie cet ouvrage, réactualisé avec l’aide de nombreux libres penseurs de toute la planète, en plusieurs langues (Demosophy en anglais, Demosophía en espagnol). Ce livre décrit le concept de la Démosophie comme un modèle de société qui, au lieu d'être dirigée par l'oligarchie politique issue de la République, le serait par l'élite intellectuelle du pays, sans aucune sélection par la situation sociale, donc sans partis politiques, ni élections de dirigeants. Ce modèle mettrait en place des dirigeants sélectionnés par des études, puis par concours, n’ayant d’autres pouvoirs que ceux d’appliquer les directives de l’autorité suprême. L’autorité suprême serait exercée directement par le peuple tout entier. Ce modèle de gouvernement interdirait toute forme de corruption, ce qui nuirait aux intérêts des multinationales et provoquerait l’enrichissement des individus et des petites entreprises au détriment des banques et des grandes sociétés. Le peuple deviendrait « l’état » en remplacement d’une classe politicienne qui serait condamnée à disparaître. Toutes les grandes entreprises, matières premières, et sources de production passeraient donc sous le contrôle direct du peuple, ce qui provoquerait un effondrement des prix dans tous les secteurs liés à l’énergie et une reprise économique générale qui parviendra peu à peu à compenser le pillage politique des cinquante dernières années.

L’objectif est que la démosophie soit représentée dans divers pays à partir de 2012 lors d’élections présidentielles, tant pour mettre fin à la crise sociale et économique que pour offrir une autre alternative au « Nouvel ordre Mondial ». Le concept démosophique est soutenu par des libres penseurs de tous pays, surtout dans les milieux scientifiques et dans la Presse libre. 



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